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🌿 Et si j’étais une plante ? 🌿

  • Photo du rédacteur: Laura
    Laura
  • 18 juin
  • 2 min de lecture

Dernière mise à jour : 28 juin


Un projet de botanique poétique et sensible


Et si on apprenait à aimer la nature autrement ? Et si, au lieu de parler d’écologie en termes de chiffres et d’inquiétudes, on aidait les enfants à tisser un lien intime et joyeux avec le végétal ?

C’est l’intuition derrière le projet "Et si j’étais une plante", mené ce printemps avec les enfants des cycles 2 et 3 de Hêtre et Devenir.

Imaginer son double végétal


Pendant plusieurs semaines, les enfants ont été invité·e·s à créer leur plante intérieure : celle qu’ils seraient s’ils étaient un végétal. Une plante aux pouvoirs doux ou incroyables, une plante aux couleurs choisies, aux besoins uniques, aux usages symboliques.

Et à travers cette création, les enfants ont parlé d’eux-mêmes. De leurs rêves, de leurs forces, de leurs idées pour un monde plus beau.
Sans que cela ait l’air d’un exercice, ils ont inventé, dessiné, écrit, raconté.

Un projet multiple : botanique, écriture, expression


En cinq séances de deux heures, ils et elles ont exploré :
🪴 Le végétal, sous toutes ses formes : feuilles, racines, graines, vertus, diversité…
🎨 La créativité, à travers la fabrication de leur plante imaginaire
✍️ L’expression écrite, en inventant son histoire, ses pouvoirs, ses usages
🗣️ L’expression orale, avec l’enregistrement d’un podcast
🤝 Et bien sûr, le plaisir de créer ensemble

Ce projet a été mené avec Dame Nature, une initiative engagée auprès des enfants pour leur transmettre l’amour du vivant avec douceur et émerveillement. Il a été rendu possible grâce au soutien de la Fondation Yves Rocher, que nous remercions chaleureusement.

Une œuvre collective à partager


Le projet s’est conclu par un moment fort : le vernissage de l’exposition à la médiathèque de Sixt-sur-Aff, le 13 juin.
Les enfants ont présenté leurs créations avec fierté, et les familles ont pu écouter un enregistrement émouvant dans lequel chaque enfant parlait de sa plante… et donc, un peu, de lui-même.
C’était beau, simple, sincère.

👉 Le projet a même attiré l’attention de la presse locale : Ouest-France a consacré un article à l’exposition, saluant la créativité et l’engagement des enfants.

Apprendre à aimer sans peur


Ce projet a suscité l’envie, l’élan, la connexion au vivant, sans entrer dans l’éco-anxiété.
Parce qu’un.e. enfant qui imagine une plante aux vertus magiques, un.e. enfant qui s’invente une racine ou un pollen bienfaiteur, est peut-être déjà en train de semer une autre façon d’être au monde.
Et ça, ça pousse.

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